Japan touch Haru : la convention lyonnaise
Tous les fans du Japon ou de manga et animes lyonnais connaissent la Japan Touch qui a lieu chaque année dans le dernier trimestre de l’année. L’hiver dernier, j’avais manqué l’édition hivernale qui avait lieu à Eurexpo mais je tenais vraiment à découvrir la petite soeur de la Japan Touch, j’ai nommé, Japan Touch Haru 2014 !
L’édition printanière réunit tous les univers de la culture geek : manga, comics, jeux vidéo 🎮, mondes de l’imaginaire et du fantastique, high-tech et arts graphiques.
Comme à la Japan Touch ?
Mais en plus petit ! Retour à l’espace Double Mixte à Villeurbanne pour cette édition printanière. Nombre de visiteurs sont là entre amis pour s’amuser autour de thèmes qui leur sont chers, et le contenu de la convention est d’ailleurs plutôt cool avec des stands qui ne tournent pas qu’autour du manga mais qui proposent un peu de tout et j’ai trouvé ça vraiment bien car souvent en France, Japon = manga...
Là, on pouvait certes voir quelques stands dédiés aux mangas et anime, mais aussi d’autres pour des boutique geek et des choses très différentes comme des stands vendant des kimonos traditionnels, des perruques colorées, du thé japonais, de la nourriture, des éventails, etc.
Ce que j'en ai retenu
Une ambiance bon enfant anime la convention. Les visiteurs sont nombreux à jouer le jeu du cosplay, qu’ils participent ou non aux concours du week-end. Certains sont d’ailleurs très impressionnants !
Côté cantine, je regrette seulement le manque de choix, ramen 🍜 ou sushi 🍣, il fallait choisir ! Mais Go Ramen, que j’aime beaucoup à Lyon déjà restait un bon choix, bien que je préfère de loin leurs plats en restaurant, que je trouve meilleurs ! Mais foule oblige, pour ne pas être dépassés le choix était réduit et même si cela restait bon, le goût n’était pas à la hauteur de ce qu’ils proposent en presqu’île.
En tant que fan du Japon ayant déjà voyagé là-bas, on ne peut s’empêcher d’une part d’être nostalgique du Japon en voyant tout ça mais aussi, quelque part, de ne plus être aussi émerveillé car « quand même, c’est pas comparable ». Mais j’aime voir le Japon aussi apprécié en France, j’aime me rendre compte que les gens sont de plus en plus ouvert à cette culture et sortir des clichés du Japon génération Club Dorothée. D’ailleurs, nul doute que je retournerai à ce type d’évènement car c’est un bon moment à passer entre amis ou en famille !