Sexy Beach
Test
Illusion est assez connu des joueurs PC japanisants, en tant que développeur de jeux ecchi voire souvent hentai 🔞. On se souvient tous d'Oppai Slider, mais ils sont aussi éditeurs de séries tout aussi sexy comme les Biko, Battle Raper, les Des Blood ou encore Artificial Girl. Que des titres (et que des jeux) très romantiques, comme on s'en doute, que les Japonais classifient "eroge" pour "erotic game".
Sexy Beach est dans la droite lignée de ce qui se fait d'habitude chez Illusion. Prenez une pincée de Dead or Alive Xtreme 2, ajoutez-y la perversité de Leisure Suit Larry, le tout à la première personne, et vous aurez une brève idée du style de la série.
Toutefois, et contrairement à ces deux titres, les Sexy Beach mettent en scènes des situations parfois plus sexuelles que suggestives (comme j'en parlais dans mon article sur le sexe dans les jeux vidéo 🎮). On n'est pas non plus dans le hardcore, mais on dépasse tout de même le cadre de la donzelle en bikini qui fait bronzette. S'il est encore une fois impossible de passer à l'action, les otaku seront ravis de faire mumuse avec les énormes poitrines fantasmagoriques des nanas proposées. Et tous les pervers patentés se régaleront de leur faire prendre des positions plus ou moins suggestives...
Reste que, comme dans tout bon jeu d'illusion, Sexy Beach a une définition de l'interactivité qui peut laisser dans le vent. Il s'agira surtout de bouger la caméra et d'habiller / déshabiller sa greluche... voir de la caresser avec votre main virtuelle (!). N'espérez donc pas quelque situation de sexe, peu importe l'épisode d'ailleurs (et pas d'extension pack Chiku Chiku Beach ou de Sexy Beach 3 Plus qui tienne). Ce temps libre vous donnera l'occasion de réviser votre japonais pour comprendre de quoi votre nénette se plaint à longueur de temps.